Cela fait plusieurs années que je cumule les emplois à mi-temps ou quart-temps par choix et je dirais même par besoin. Pourquoi ? Cela m'a toujours permis de diversifier et ainsi, de ne pas m'ennuyer dans la répétition d'un seul travail.
Lorsque j'ai obtenu ma Licence de Psychologie, orientation « Phénoménologie clinique du sportif et des problématiques corporelles », à l’université Paul Valéry de Montpellier, je me suis posée la question de continuer ou non. La sophrologie est arrivée à ce moment précis dans ma vie, répondant pleinement à mes attentes professionnelles : orientée vers la personne et non vers le problème, visant l'autonomie, permettant l'accompagnement complet de personnes souhaitant (re)prendre leurs vies en main (et non pas que des personnes à pathologie), privilégiant l'expérience plutôt que le discours. De plus, elle reprenait à sa base, le concept de phénoménologie : tout ce qui est expérimenté ici et maintenant, sans a priori, sans référence au passé ni intention vers l'avenir. Cela donc été une évidence.
Je suis, aujourd'hui, diplômée de l'Ecole Française de Sophrologie de Montpellier et de la FEPS du titre de Sophrologue RNCP inscrit au Répertoire National des Certifications Professionnelles, niveau de qualification III reconnu par l'Etat.